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Demies elfes (jamais continuer ...)

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Message  Filmania Ven 24 Oct - 16:18

Demies elfes




partie I



Alynhdra était tranquillement installé au comptoir d’une taverne, à
essayer de se trouver un emplois, ce qui était parfois fort aisé et
d’autre fois quasiment impossible, en effet, c’était une mercenaire,
elle recherchait une mission, ou plutôt une quête, comme elle aime à
les appeler. Mais en ces temps si, le calme régnait, le chaos était
absent de la contrée, rien ne semblait se tramer, aucun étranger
porteur de mauvaise n’était arrivé depuis bien longtemps, et comme les
bonnes nouvelles arrivaient encore, il n’y avait pas lieu de
s’inquiéter, elle était en train de ruminer sur sa bourse presque vide
lorsqu’un événement vint troubler le déroulement coutumiers de ses
pénibles journées, un inconnu entra, un flutiau à la main et une
guitare pour tout paquetage.

Toutes les têtes s’étaient relevé, et tous les yeux regardaient cet
homme de bien bel stature avancer calmement, sans éprouver la moindre
gêne de tous ces regards inquisiteurs, lorsqu’il arriva face au
tavernier, on se rendit compte du silence qui régnait, il était
assourdissant, l’inconnu se pencha vers le tavernier, et lui souffla
deux mots et quelques piécettes. Un verre lui fut servi, ce qui fut le
signal d’un retour à la normale, quelques instants plus tard,
l’aubergiste s’approcha d’Alynhdra, il lui signala que l’inconnu était
un barde, qui aurait aimé pouvoir la chanter, ce qui bien évidemment
intéressa la demie-elfe, elle lui fit signe d’approcher, cela allait au
moins servir à lui faire oublié sa morosité, et peut être une aventure
se présentait-elle au bout.
L’homme s’approcha, le verre à la main, il déposa ses affaires sur la
table, alla faire la bise à la jolie jeune fille, puis lui demanda ce
qu’elle désirait boire, il paya directement au comptoir. Il revint avec
une chope de bière pour la belle et se présenta :
- Merci ma chère Alynhdra de m’accueillir à votre table, alors que vous
ne me connaissez pas, je suis un barde, je voyage de ville en village,
de village en hameaux, partout où une histoire, ou un chant peut faire
du bien, partout où je peu apprendre de nouvelles choses, il se trouve
qu’on m’a parlé de vous, et ainsi, me voilà.


Il fit alors une pause, mais la demoiselle ne prit pas la parole,
elle attendait ne sachant de quoi il serait question. Le musicien se
lança :
- Alors ma chère Alynhdra,
- Vi ? On sentait transparaitre une certaine fébrilité au son de sa voix, l’appréhension sans doute.
- Je ne sais de vous que ce que l’on m’a raconté, s’excusa presque le barde, ainsi, vous avez vécu chez des demi-orques ?
Elle eut une hésitation ne sachant si il serait bon ou pas de répondre,
à cette question sommes toutes assez personnelle pour qu’elle refuse de
parler, mais finalement, la perspective de se retrouver seule l’empêcha
de prendre le risque de le voire partir.
- Oui, pendant 2 ans, répondit la demie-elfe, j’étais la compagne de l’un d’entre eux.
- Connaissiez-vous à l’époque la douce Filmalia ? Car en faites, j’écris un parchemin sur votre rencontre.
- D’accord, acquiesça-t-elle avec un sourire, il lui sembla qu’elle
n’était pas le vrai sujet du parchemin, non, je ne la connaissais pas à
l’époque, le sourire du barde s’effaça une fraction de seconde, on
s’est rencontré à l’occasion d’une quête dans les terres kaotique, il y
a de cela trois ans.
- Vous êtes la première des deux que j’interroge, racontez moi vos souvenirs, j’irais la voire par la suite.
- Alors, alors, Alynhdra réfléchi quelques instants, à l’époque,
j’était sans le moindre sous, et je déprimais, ayant été finalement
rejeté de chez les demis orques, elle déglutit difficilement, il
fallait que je trouve une quête, et vite ! S’exclama-t-elle avec un
clin d’œil. Donc, je me trouvais dans un village en frontière des
terres kaotique et j’avais ouïe dire qu’une quête plutôt périlleuse
mais qui en cas de succès pouvait rapporter gros. Pendant quelques
instants elle sembla ailleurs, sans doute se remémorait-elle cette
quête, ses dangers, ou alors cette grosse récompense. C’est à ce moment
là que je suis tombée sur Filmalia à la taverne, elle poussa un soupir,
se rappelant de cette première rencontre, je prenais une chope de bière
tranquillement lorsqu’une bagarre s’est déclenché entre un nain et un
elfe noir, un sourire éclaira son visage, j’ai vu Filmalia se jeter
dans la bataille et régler vite fait bien fait tout ce grabuge, nouveau
sourire, elle seule resta debout. J’avoue que j’ai été très
impressionné de sa pugnacité au combat. On ne penserait pas qu’il
puisse sortir autant de violence de ce petit bout de femme, elle
soupira à l’évocation de ce souvenir.
- Comment en êtes vous arrivé à vous parler ? Il ne voulait surtout pas
qu’elle s’arrête, elle aurait risqué de ne pas reprendre.
- Je me suis donc approché d’elle pour engager la conversation ensuite,
nous en sommes venu a prendre un verre ensemble et puis j’ai appris
qu’elle voulait aussi participer à cette quêtes, petit sourire, mais
contrairement à moi, son objectif premier n’était pas l’argent, elle
éclata d’un joli rire qui éclaira sa figure, ce qu’elle aimait et aime
toujours, c’est l’aventure, la bataille et le sang, le sang surtout en
faites, elle frissonna, je me suis alors dit pour la première fois que
c’était une folle, fini-t-elle en souriant.
- Une folle ? Repris le barde dans la précipitation, il ne voulait pas
la laissé se taire. Comment cela ? Elle aime tant le sang que cela ?
Alynhdra ne put s’empêcher de s’esclaffer.
- Bien sûr qu’elle est folle ! Vous voulez des exemples, je vais vous
en donner, il y a de cela quelques temps, elle a prit part à l’escorte
d’un trésor, qui se révéla faux, mais là n’est pas la question, la
veille de cette escorte, 3 malfrat on voulu la détrousser, mais elle
n’avait rien sur elle, ils ont voulu à ce moment, se payer en nature,
mais c’était sans compter sur sa vousge…
- Sa vousge ? L’interrompis l’artiste.
- Son arme, une lame de près de un mettre quarante de long et d’une
largeur de trente centimètres, coupant comme une lame de rasoir sur
toute la longueur. Mais passons, cela n’est pas intéressant, ce qui
n’était pas de l’avis de l’homme, qui semblait, malgré ses connaissance
ne pas connaitre cet arme prodigieuse. Alors, avec sa vousge, elle put
s’enfuir, non sans se servir au passage. La beauté repris sa
respiration, se remémorant se qu’on lui avait conté. Le lendemain, il
se trouva que les contremaitres de l’escorte était les trois malheureux
de la veille, qui se révélèrent être des bandits, ils avaient soudoyé
la moitié de l’escorte, pour s’emparer du butin, mais Filmalia avec ses
coéquipiers réussirent à maitriser leurs adversaires. Là Filmalia
révéla un peu de sa nature, le responsable du détournement, qu’elle
avait réussi à abattre seule, lui faisait honte pour les autres mâles.
Elle décida de lui couper l’organe, elle le fit soigner par un membre
du groupe, puis elle lui trancha les parties, malheureusement, il en
mourut. Le barde fut assez scandalisé par ces paroles prononcé sur un
ton badin, comme si tel chose arrivait chaque matin.
- Mais c’est horrible !! Comment peut-elle penser à une chose pareil ?
- De la même manière que certains hommes ne demande pas l’avis des
femmes, et ne dites pas qu’en cas d’union cela est normal, ou vous
subirez le même sort que ce vilain personnage.
- Bien, bien, avez-vous une autre anecdote à me fournir ?
- Oui, je peut vous en fournir une autre, je vais essayer de faire
court, un rictus sardonique apparu sur ses jolies lèvres. Et bien, un
soir, elle fit un concours de boisson, mais elle se retrouva à terre
dés le début, sans doute au mauvais moment de la lune, je ne le sais
pas. Toujours est-il qu’elle fut conduite dans sa chambre endormie.
Mais elle se réveilla nue à coté d’un homme qui l’avait abordé la
veille au soir, et qui comble avait sur la face un sourire béat. Bien
qu’elle ait la gueule de bois, et qu’elle ne se souvint de rien, pas
une caresse, pas un fragment de souvenir, il lui fut rapidement clair
qu’on avait joué avec son corps sans son consentement, elle se sentait
si souillé, la pauvre, une expression de pure tendresse traversa le
visage de la jolie créature, sur elle et en elle, aucune partie de son
joli corps n’avait apparemment été épargnés. Elle avait la nausée, à
cause de la situation mais l’alcool ne devait pas y être pour rien non
plus, elle est resté, m’a-t-elle dit, de longue minute à essayé de
réfléchir à comment réparer cette saleté qui commençait déjà à lui
noircir l’âme, alors, elle eut une idée. Elle marqua une pause,
consciente de son effet.
- Que fit-elle ?
- Essayez de deviner…
- Elle coupa le bout avec les dents ?
- Non, mais je pense qu’elle a dut y penser.
- Elle l’a étranglé ?
- Je le pensais aussi, mais cela lui paraissait trop gentil.
- Je ne vois pas, elle a utilisé une arme ?
- Non, un grand sourire illumina son beau minois, elle fit une chose
horrible à mains nues, elle s’est mis à califourchon sur le torse de
son bourreau nocturne, sans le réveiller, à approché sa bouche de celle
de l’homme, puis a vomi de toute ses forces, là, elle a bloqué le nez
et la bouche de cette pourriture de la société. Elle l’a tenu ainsi
pendant les longues minutes qui ont précédés sa mort, elle fut quelque
peu libérée de sa douleur, maintenant qu’elle savait qu’elle était un
peu vengée et qu’il avait eu une mort aussi dégoutante que ses actes de
la nuit précédente. A la fin de son descriptif, elle osa enfin regarder
son vis-à-vis, celui-ci était blanc comme un mort, sans doute
n’avait-il jamais pensé à une telle abomination ?
- Je ne me sens pas très bien. Je croit que j’en sait assez long, je,
je ne désire plus lui parler, je crois que l’on m’a mal renseigné en
disant que c’était quelqu’un de bien. Je vais vous laisser là.
Il se leva, prit ses affaires et s’en fut sans un seul mots
supplémentaire, il avait à peine parcouru la moitié de la distance pour
rejoindre la porte qu’une demie-elfe entra, c’était Filmalia, il la
reconnu grâce à son arme, qui il faut l’avouer, est peu ordinaire, il
ne la regarda pas plus, il avança tête baissée, il trébucha sur une
chaise tant son trouble était grand, comment une si jolie fille
pouvait-elle faire cela ? Comment une autre osait-elle en parler sans
le moindre gène ? Cela dépassait son entendement, lorsqu’il eut passé
l’objet de sa terreur, il se mit à courir sous les rire de l’assemblée,
il sorti et eut un haut de cœur, ce qui le fit penser au méfait de
Filmania, là-dessus, on entendit le bruit caractéristique de quelqu’un
de vraiment malade. Filmania, elle, alla s’asseoir tranquillement à
coté de son amie et lui demanda ce qui était arrivé à ce pauvre bougre.
Filmania
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